Morphologie |
Morphologie générale |
Plante herbacée annuelle, à forte odeur, généralement agréable, de 5 à 30cm de haut |
Ecorce
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Tiges
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Dressées |
Bourgeons
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Feuilles
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Feuilles caduques, alternes, 2-3 pennatiséquées, à divisons linéaires, courbement pétiolées ou sessiles
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Inflorescences
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Fleurs réunies en capitules bombés, de 5 à 10mm de diamètre, groupés en grappes disposés aux sommets des tiges |
Fleurs
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Fruits
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Akènes |
Racines
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Pivotantes |
Ecologie |
Aire de distribution naturelle
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Asie du Nord-Est, Amérique du Nord, introduite en Belgique depuis l'Asie |
Distribution en Belgique
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Commune |
Amplitude trophique
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Sur sols neutres |
Amplitude hydrique
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Sur sols secs |
Biotopes
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Sites rudéralisés |
Floraison
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Juin-novembre |
Pollinisation
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Entomophile, autogame |
Dissémination des graines
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Barochorie |
Multiplication asexuée
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Remarques |
Propriétés médicinales
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La matricaire possède les mêmes propriétés que les autres camomilles, elle est donc apaisante et antispasmodique lorsqu'elle est bue en infusions notamment pour soulager les douleurs stomacales ou les règles douloureuses. Utilisée en décoction sur les cheveux, elle les blondit un peu et leur donne de la brillance. |
Etymologie
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Le nom de genre Matricaria vient du latin matrix, -icis « 1. reproductrice, femelle, 2. matrice » (Gaffiot) et du suffixe -arius, -aria, par allusion aux vertus emménagogues de la plante. L'épithète spécifique recutita est une flexion du latin recutitus « circoncis » (Gaffiot) par allusion au fruit sans pappus
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Autre remarque
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