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Merisier, cerisier 

Plante ligneuse, vivace, de 3-20m de haut

Rougeâtre, avec lenticelles bien visibles, puis s’exfoliant en lanières horizontales

Alternes, bruns-rouge brillant avec lenticelles blanches. Les rameaux courts, à croissance très réduite et ils portent des rosettes de fleurs et de feuilles.

Ovales, aigus ou globuleux, à écailles brun-rouges, glabres

• Feuilles caduques, alternes, pétiolées, simples, entières, lancéolées à ovales, glabres,
• à bord denté,
• à nervation pennée,
• présence de 2 glandes rougeâtres sur le pétiole.

Fleurs réunies en ombelle

• Fleurs blanches, hermaphrodites, 5-mères, à symétrie radiaire, 
• 5 sépales,
• 5 pétales, libres,
• plus de 12 étamines, libres,
• 1 seul carpelle, non soudé au réceptacle,
• ovaire supère.

Drupes (cerises) longuement pédonculées, rouges puis noires à maturité

Obliques

Europe, Région méditerranéenne, Asie de l’Ouest

Commune, cultivée pour l’alimentation

Sur sols neutres à calcarifères

Sur sols secs à humides

Forêts

Avril-mai 

Entomophile

Endozoochorie

Présence de drageons

Pédoncule  des fruits diurétique

du latin prunus : nom de ces arbres, et avis : oiseau (fruits consommés et disséminés par les oiseaux)

Le merisier est un des parents de nos cultivars fruitiers, l’autre étant Prunus cerasus (griottier).

La germination en conditions naturelles est difficile, car le noyau est sensible aux attaques d’agents pathogènes ou d’insectes (charançons). Il se multiplie surtout par voie végétative, le drageonnement étant abondant.

Son aubier est mince et son duramen est brun rosé. C’est un bois stable qui se teint très bien. Il est très recherché pour le tranchage et l’ébénisterie. Son bois est l’un des plus estimés du marché.

Espèce très sensible à la gommose.